Mozart : la 40ème et le Requiem

Que dire qui n’a pas été déjà dit sur Mozart ? Pourquoi le choix d’associer ces deux oeuvres?

Elles représentent deux aspects de l’homme Mozart.

Quelques mois avant la fin de l’année 1791, alors même qu’il se sait mourant et malgré la commande qu’il avait reçue quelque temps auparavant, Mozart ne veut pas mettre en musique sa propre mort ni même chercher son salut éternel, à travers la composition d’un Requiem. Cela n’est pas sa priorité.

De plus, il est de notoriété publique que le lien qu’il entretient avec la religion et sa hiérarchie est conflictuel malgré l’enracinement certain de ses convictions spirituelles. En raison de tout cela, sûrement, et encore plus du désir d’une vie qui voudrait se prolonger, son écriture reste inachevée. C’est le versant Amadeus (qui aime Dieu) de sa personnalité.

Il est indéniable aussi que l’ensemble de son oeuvre est inachevée après seulement 36 ans de vie, et qu’elle s’interrompt aux portes d’un préromantisme qu’il amorce dans ses dernières compositions telles que la symphonie n° 40.

Faisant partie d’un triptyque avec la 39ème et la 41ème, elle exprime les craintes, les doutes, mais aussi les forces, et les fortes convictions intérieures qui sont toujours en lui et qui lui permettront de vaincre ses angoisses existentielles. C’est le versant Wolfgang (la trace du loup) de sa personnalité.

Etre aimé par Dieu, ou par le Dieu de la musique, mais pas toujours par ses contemporains, être un homme accompli à l’égal du musicien prodige, telles sont les questions que nous posent ses deux oeuvres.

Pablo Pavon


Le concert a été donné le 17 mars 2013

 

Eglise Saint-Pierre-les-Minimes – Clermont-Ferrand

Dimanche 17 Mars 2013 – 17H

W.A. MOZART

Symphonie n° 40 KV 550 en sol mineur

Requiem KV 626 en ré mineur

Pour solistes, choeur et orchestre

Angélique Pourreyron soprano

Catherine Cardin alto

Patrick Garayt ténor

Philippe Cantor baryton

Choeur et Orchestre Musica Mediante


Pablo Pavon


SYMPHONIE N° 40 KV 550

Au moment où il compose cette symphonie, dans l’été 1788, Mozart n’a plus que 3 ans à vivre, et il se trouve dans une situation très critique, sans statut reconnu, sans ressources, endetté, abandonné par le public de Vienne qui a boudé son Don Giovanni, très affecté par le décès de sa fille Thérèse à l’âge de 6 mois.

Cette oeuvre très célèbre constitue le coeur d’une trilogie de trois grandes symphonies, les trois dernières de Mozart, composées en trois mois, et qui reflètent intensément tout le spectre musical du génie mozartien, tout en annonçant celui de Beethoven et du romantisme.

La Symphonie n° 39 était celle de l’espérance joyeuse ; la Symphonie n° 41 « Jupiter » exprimera avec éclat la vitalité et l’héroïsme victorieux. Entre les deux la Symphonie n° 40, avec sa couleur sombre de sol mineur, traversée par des élans fiévreux et des rythmes violents, déploie à travers ses quatre mouvements, tout ce que l’âme de Mozart porte en elle de mélancolie douloureuse, se débattant désespérément face à un destin inexorable.

REQUIEM KV 626

En juillet 1791, Mozart, épuisé par le travail mettait la dernière main à la Flûte enchantée lorsqu’il reçut du Comte Walsegg, amoureux fou de musique, la commande d’une messe des morts à la mémoire de sa femme défunte. Le Requiem, interrompu par la mort de Mozart, fut achevé par Franz Xavier Süssmayer, son élève et disciple avec lequel il fut en étroite communication jusqu’à ses derniers instants.

Le Requiem dépasse de très loin le niveau d’un ouvrage satisfaisant à des idées établies par la tradition. En effet, nous pouvons y retrouver des idées reçues en héritage et des idées nouvelles, alliées au dénominateur personnel du style mozartien.

Si nous reconnaissons l’influence de Haendel et de Bach dans le contrepoint et dans l’allure gestuelle, Mozart est très avant-gardiste dans le traitement harmonique et l’exploitation des timbres. Il en résulte une synthèse, tant dans le style que dans le caractère, des éléments archaïques côtoyant des aspects subjectivement émotionnels.

Le début du Requiem exprime une véritable profession de foi marquée d’accents au plus haut point personnels. Les bois prédominent et laissent pressentir la sonorité romantique de la résignation subjective, notamment dans la première partie qui correspond à l’idée que se faisait Mozart de la mort et telle qu’il l’exposa dans une lettre adressée à son père en 1787, à l’âge de 31 ans : « …comme la mort, à y regarder de près, est le vrai but de notre vie, je me suis, depuis quelques années, tellement familiarisé avec cette véritable, parfaite amie de l’homme, que son image non seulement n’a plus rien d’effrayant pour moi, mais m’est très apaisante et consolante ! Et je remercie mon Dieu de m’avoir accordé le bonheur de me procurer l’occasion..…d’apprendre à la connaître comme la clef de notre vraie félicité ».

La fugue du Kyrie se livre à d’audacieux élargissements du système harmonique dans lesquels s’exprime le lugubre, l’insondable mystère. Mozart, qui ne craignait point de confronter des sentiments humains extrêmes, apporte au moyen de récalcitrantes figures d’orchestre aux arêtes vives, presque mordantes, le contraste du mouvement de révolte de l’individu, Exaudi orationem meam.

Dans le Dies irae, l’adresse avec laquelle il combine de façon dramatique la spiritualité objective avec la foi personnelle est remarquable. Suite au Rex tremendae majestatis passionné, le sommet de l’oeuvre est atteint avec le Recordare, humblement suppliant et empreint d’une bouleversante anxiété.

L’expérience d’états d’âme foncièrement romantiques fait ensuite place à la description réaliste du Confutatis maledictis aux harmonies de nouveau hardies qui produisirent sans aucun doute, en 1791, un effet angoissant et annoncent Wagner dans leur chromatisme. Seules les huit premières mesures du Lacrimosa émanent de Mozart.

Sanctus, Benedictus et Agnus Dei pourraient être fondés sur des esquisses de Mozart, mais ils trahissent nettement la main de celui qui acheva la partition, Franz Xavier Süssmayer, alors âgé de 25 ans et élève du compositeur.

Bien qu’inachevé le Requiem est la synthèse non seulement de l’activité créatrice de Mozart mais également de la musique des XVIIème et XVIIIème siècles.


 

WOLFGANG AMADEUS MOZART – 1756 – 1791

MozartLe génie de Mozart ne peut être réduit à une précocité miraculeuse, à son oreille absolue, à sa mémoire prodigieuse, ou à une mystérieuse inspiration. Il doit beaucoup à un apprentissage patient et prolongé que son père Léopold, excellent pédagogue, lui a imposé dès son plus jeune âge, pressentant en son fils des aptitudes exceptionnelles, lui donnant les bases essentielles de l’art musical, lui enseignant la pratique du clavecin, puis du violon et de l’orgue. Mais c’est en le faisant voyager avec lui, dès l’âge de six ans, loin de Salzbourg, sa ville natale, dans toute l’Europe, qu’il a donné à son fils la chance non seulement de se faire connaître comme enfant prodige, mais de s’ouvrir à de multiples influences nouvelles qu’il a su assimiler et synthétiser. A Londres, c’est Jean-Chrétien Bach, un des fils de Jean-Sébastien, à Paris c’est Gluck, en Italie, c’est l’opéra italien. A Vienne, il rencontre plus tard le grand Joseph Haydn, qui écrira à son père : « Votre fils est le plus grand compositeur que je connaisse, il a du goût, et en outre la plus grande science de la composition ». Chaque fois, c’est pour lui l’occasion d’intégrer ces découvertes à son propre génie musical. Il est vrai que Wolfgang était habité par une intense curiosité pour toutes les musiques qu’il rencontrait et dont il s’imprégnait passionnément pour élaborer très tôt ses premières oeuvres : sonates, symphonies, quatuors, opéras etc…..

A partir de 1773, à 17 ans, il devient employé du nouveau prince-archevêque de Salzbourg Colloredo qui, incapable de comprendre l’originalité artistique de ses compositions et son goût pour les voyages vers de nouvelles sources d’inspiration, le traite comme un domestique. Il s’ensuit une cohabitation de plus en plus difficile, qui aboutit en 1781 à une rupture. Voilà Mozart privé de revenus réguliers, mais il peut enfin devenir compositeur indépendant à Vienne. C’est alors qu’il découvre la musique et le style fugué de JS Bach alors tombé dans l’oubli, qui lui inspirera la magnifique Grande messe en ut mineur, et qu’il compose, parmi de nombreuses autres oeuvres, une remarquable série de quatuors pour son ami Haydn. C’est alors, en 1782, qu’il épouse Constance Weber, dont il aura six enfants, dont deux seulement survivront, et ce, dans des conditions matérielles souvent difficiles. En 1784, il entre, comme Haydn, dans la franc-maçonnerie, dont la spiritualité et le symbolisme de l’ombre et de la lumière complètent et enrichissent la foi chrétienne de son enfance ; ce sera là l’inspiration principale de son futur opéra La Flûte enchantée.

Mais les difficultés financières s’accumulent, les succès de ses oeuvres, notamment à Prague, ne compensent pas la désaffection progressive du public viennois, sauf pour La Flûte. Sa santé, qui fut toujours fragile, se détériore de plus en plus. Le surmenage l’épuise, pour composer notamment ses trois dernières symphonies, ses derniers opéras dont Cosi fan Tutte, le Requiem. De plus en plus, l’angoisse alterne avec la sérénité, jusqu’à sa mort à 35 ans, qu’il sentait approcher depuis longtemps.

Il reste une oeuvre immense qui couvre tous les genres musicaux et pour tous les publics : oeuvres religieuses, pièces galantes, symphonies, concertos, musique de chambre, opéras, musique pour clavier.

Par-delà les légendes qui ont souvent fait de lui, tantôt un être frivole et superficiel, tantôt un ange désincarné, le « divin Mozart », « l’enfant éternel », on doit voir en lui un homme complet, sensible aux tragédies de l’existence comme aux plaisirs de la vie, et capable d’une joie profonde comme d’une douloureuse mélancolie. Il a su exprimer toute cette richesse dans une musique dont le classicisme a su intégrer à la fois le meilleur du passé baroque et les pressentiments du romantisme à venir, la complexité des compositions savantes et la simplicité d’un art qui a su devenir populaire.

Bernard Dumoulin


Les interprètes solistes

Patrik GaraytPATRICK GARAYT – ténor – Après des études de piano au Conservatoire de Valence, Patrick Garayt travaille sa voix dès l’âge de 18 ans. Commence alors une brillante carrière qui le conduira à chanter dans toute l’Europe, allant même jusqu’en Ukraine ou au Paraguay. Sa carrière est principalement tournée vers le répertoire de musique sacrée (motets, messes, passions…) et d’oratorio.

Avec près de 1000 concerts à son actif, il est difficile de rendre compte d’une carrière déjà si foisonnante ; notons tout de même quelques grands rendez-vous comme Jeanne au bûcher d’Honegger, dirigée par Alain Lombard avec l’orchestre National de Lyon au Festival de La Chaise-Dieu, le Requiem de Verdi dirigé par Philippe Bender (Orchestre Régional Provence Alpes Côte d’azur), Michel Piquemal (Concerts Pasdeloup), Paul Kuëntz, François Boulanger (Orchestre de la Garde Républicaine)…, Les Vêpres de la Vierge de Monteverdi et La Création de Haydn dirigées par Jean Gouze à Montpellier, L’Enfance du Christ et le Requiem de Berlioz, La Terre promise et La Vierge de Massenet dirigés par Jean-Pierre Lore, les Passion selon Saint-Jean et Saint Matthieu de Bach, L’Apocalypse de Jean Français, la 9ème symphonie de Beethoven et d’innombrables Requiem de Mozart.

Outre de nombreux récitals de mélodies et d’airs d’opéra, Patrick Garayt s’est produit sur scène dans Dardanus de J.Ph Rameau, Ondine d’E.T.A Hoffmann (en première mondiale), Pomme d’api, (Gustave), La Périchole (Piquillo) ou Les Brigands (Falsacappa) de Jacques Offenbach.

Philippe CantorPHILIPPE CANTOR – baryton – Après des études d’orgue au Conservatoire de Caen, c’est vers l’interprétation des musiques anciennes que Philippe Cantor s’est orienté, au sein des ensembles « Huelgas » (direction : Paul Van Nevel), « Organum » (direction : Marcel Peres) et surtout « Clément Janequin » dont il est membre dès sa création en 1978 et jusqu’en 1991, acquérant ainsi une grande pratique de la musique d’ensemble.

Sa carrière de soliste a débuté avec l’ensemble « Les Arts Florissants » de William Christie et sous l’impulsion de Jean-Claude Malgoire « La Grande Ecurie et la Chambre du Roy » avec qui il a fait de nombreux concerts et productions scéniques.

Il a aussi chanté le répertoire baroque sous la direction de Mirella Giardelli, Sigiswald Kuijken, René Jacobs, Gilbert Bezzina, Marc Minkowski, Olivier Schneebeli, Christophe Coin, Jean-Christophe Frisch, Graham O’Reilly…

En 1992, il remporte le Concours de Rennes pour le rôle de Golaud dans Pelléas et Mélisande de Debussy. La maturité de sa voix lui permet désormais d’aborder aussi les rôles du répertoire des XIXe et XXe siècles, jusqu‘à la création d’oeuvres contemporaines de Antoine Duhamel (Transsibérien au théâtre des Bouffes du Nord), Pierre Jansen, Alain Margoni, Maurice Ohana, Henri Dutilleux, Luciano Berio, R. Martignoni (Orchestre de Bretagne), Ph. Bender (Orchestre Régional Provence-Côte d’Azur) ; J.L Forestier (Ensemble Musique Vivante), J. Mercier (Orchestre National d’Ile de France), B. Têtu (Solistes de Lyon)…

Il partage aujourd’hui ses activités entre l’oratorio, le récital, la musique de chambre (il chante régulièrement avec l’ensemble vocal « Les Solistes de Lyon » et la scène où il fut notamment remarqué dans les rôles de « Pimpinone » (Telemann), « Don Alfonso » (Mozart : Cosi fan Tutte), « Orphée » (Gluck), jusqu’à la comédie musicale : Sweeney Todd (Sondheim).

Angelique PourreyronANGÉLIQUE POURREYRON – soprano – Originaire de Clermont-Ferrand, Angélique Pourreyron a obtenu les diplômes de fin d’études en violon alto et en formation musicale, puis, après son baccalauréat, son goût pour le jazz et la comédie musicale américaine la conduit à la High School for the Performing and Visual Arts de Houston au Texas. Après avoir obtenu son DEM de chant lyrique en 2006, elle se dirige vers le Conservatoire Supérieur d’Amsterdam où elle termine sa formation de bachelor dans la classe de Valérie Guillorit en juin 2010.

Elle se produit dans des oeuvres d’Offenbach, Boieldieu et Barber et elle est invitée par Arie Van Beek et l’Orchestre d’Auvergne dans un répertoire d’opérettes françaises, des extraits du Magnificat de Bach ainsi que dans les Chants d’Auvergne de Canteloube. Avec le Centre Lyrique d’Auvergne, elle chante le rôle de Hanne dans Les Saisons de Haydn. Elle interprète les Cantates BWV 106 et BWV 62 de Bach lors du XIIème festival « Bach en Combrailles ».

Angélique se distingue à l’occasion de concours internationaux : 2ème prix au « John Kerr Award » en 2008, 2ème prix d’opéra, prix de la mélodie contemporaine et prix de l’orchestre au concours des « Symphonies d’Automne » de Mâcon.

Elle est soliste dans le Messie de Haendel dirigé par Pablo Pavon en décembre 2010 et chante Songe d’une nuit d’été de Mendelssohn avec l’Orchestre de Picardie et le choeur de femmes de l’opéra de Lille, sous la direction d’Arie Van Beek. Dans le cadre de la saison culturelle du Centre Lyrique d’Auvergne, elle est soliste dans le Stabat Mater de Pergolèse et interprète le rôle-titre dans le poème lyrique Andromède de Lekeu avec le Choeur Régional d’Auvergne. En février 2013, elle est Melle Silberg dans l’opéra de Mozart Der Schauspieldirektor à Compiègne et Abbeville, avec l’orchestre de Picardie.

En tant qu’interprète de musique de chambre, elle se produit avec différents instrumentistes dans un répertoire classique, jazz et comédie musicale américaine, ainsi que dans un répertoire d’airs d’opéra, lieder allemands et mélodies françaises et différents programmes de musique italienne, française, allemande et anglaise.

Catherine CardinCATHERINE CARDIN – mezzo – Professeur d’Art Lyrique au Conservatoire de Courbevoie, elle est aussi pianiste et professeur d’Education Musicale. Encouragée dans le travail du chant par Arthur Oldham, chef du Choeur de l’Orchestre de Paris, elle devient l’élève de Maria Gracia Dilluvio, puis de Marguerite Pifteau, avant de se perfectionner auprès de Gabriel Bacquier, Andréa Guiot, Régine Crespin…

Elle débute sa carrière de soliste avec l’oratorio dans le cadre des grands concerts parisiens, se distinguant dans tous les répertoires, de Carissimi à Messiaen, et donne de remarquables interprétations du Requiem de Verdi, saluées par la critique à Cannes. Elle incarne également Orphée, Dalila et on a pu l’applaudir dans les Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc, avec l’Orchestre National d’Ile de France, ainsi que dans La Vida Breve de Manuel de Falla, et plus récemment dans Hansel et Gretel de Humperdinck. Elle s’illustre par ailleurs régulièrement dans des récitals et a participé aux émissions d’Eve Ruggieri « Musiques au coeur » ainsi qu’à celle de Jean-Michel Damian sur France Musique consacrées toutes deux à Manuel Rosenthal. Elle enseigne également la technique vocale pour la Maîtrise d’Antony et pour le choeur d’enfants « Sotto Voce » dirigé par Scott Alan Prouty et organise des stages et des master class pour les plus grands.

Pour le disque, elle a enregistré notamment les Requiem de Verdi, Mozart et Duruflé, Les litanies à la Vierge de Monteverdi, et en création mondiale, le Requiem d’Ignaz Pleyel…


ORCHESTRE MUSICA MEDIANTE

L’Orchestre Musica Mediante se compose de musiciens professionnels de la région, ainsi que de grands élèves des écoles de musique ou du Conservatoire.

Depuis 1995, date de création de l’Association Musica Mediante, cet orchestre de dimensions variables a acquis au fil des années un répertoire étendu comprenant non seulement des oeuvres pour choeur, solistes et orchestre (Oratorios de Bach, Requiem de Mozart et de Verdi, Messie de Haendel, Passion selon St Matthieu de Bach, The Fairy Queen de Purcell…) mais aussi des oeuvres pour orchestre à cordes (Danses Roumaines de Bartok, Adagio de Barber, Concerto grosso opus 6 n° 12 de Haendel), pour violon et orchestre (Concerto en ré majeur op. 35 de Tchaïkovski) ou pour orchestre symphonique (Symphonies n° 5 et 9 de Beethoven, Symphonies n° 3 et 4 de Mendelssohn, Symphonie n° 5 en si bémol majeur de Schubert…).

Ainsi, plusieurs fois par an, sous la direction de Pablo Pavon, le Choeur et l’Orchestre Musica Mediante partagent des moments musicaux intenses avec la complicité d’un public dont les applaudissements chaleureux témoignent de son enthousiasme.

Participent à ce concert

VIOLONS 1 Hiroé NAMBA – Vincent BARDY – Nicole CHANEL – François DRAGON

Aude BERNARD – Françoise BONGIRAUD

VIOLONS 2 Laurence ALLÉE – Emilie FEREIRA – Cécile BOUQUET – Patricia ROUSSET

Angéline BERNARDI

ALTOS Kathleen MONPERTUIS – Nathalie CHAMBÉRY – Fabrice PLANCHAT

Tomoko ONO

VIOLONCELLES Sylvie CAGNIONCLE – Bénédicte PIAT – Alexandre PÉRONNY

Anne-Laure BARBARIN

CONTREBASSES Daniel GRIMONPREZ – Emmanuel JARROUSSE

FLÛTES Marie-Pierre GLANOWSKI – Sylvaine DROUET

HAUTBOIS Yves CAUTRES – Willy BOUCHE

CLARINETTES Philippe TRILLAT – Catherine CARTIER – Magali BROSSE

BASSONS Claudette FRIESS – Catherine JAMBON

TROMPETTES Daniel PILLITTERI – Christophe PEREIRA

CORS Benjamin IMBAUD – Marie-Pierre BERNAD

TROMBONES Jean-Luc JAFFEUX


 

Clermont Musique